Allez, avouez-le , vous aussi vous avez du mal à passer à l'action.

"Je ne suis pas prête"
"Il me manque encore...du matériel, un endroit, des formations, du temps, de l'argent, ... (au choix ou tout à la fois)
"J'ai d'autres choses à faire avant"
"Et si je me plante..."

Rassurez-vous, nous sommes nombreux à sortir difficilement de notre zone de confort, de notre zone de contrôle.
D'après Roy Blitzer, "la seule personne qui aime le changement, c'est un bébé avec une couche pleine".

Voici quelques astuces que vous pouvez utiliser pour vous aider à passer à l'action et à donner vie à vos projets.

1) Annoncez vos projets

Si vous en parlez autour de vous, vous serez moins tenté d'abandonner, au risque de passer pour un mytho et de perdre toute crédibilité, ce dont vous n'avez évidemment pas envie!
Choisissez quand même les personnes à qui vous l'annoncez (voir point 8), pour ne pas vous heurter aux esprits négatifs.

2) Fixez-vous des échéances

"La différence entre un rêve et un projet, c'est une date" - Walt Disney
Vous avez le choix, continuer à rêver indéfiniment ou déterminer une date pour laquelle vous devrez avoir atteint votre objectif.

3) Soyez réaliste

Prévoyez des délais raisonnables, fixez-vous des objectifs réalisables, sinon vous risquez de vous décourager et de retourner vite fait dans votre zone de confort.

4) Décomposez les tâches trop lourdes

"Comment avale-t-on une baleine? Morceau après morceau"
Certains appelle aussi ça "découper l'éléphant en tranches".
Il s'agit de découper les tâches imposantes en une série de tâches plus petites.
Ainsi, vous constaterez plus facilement vos progrès et aucune tâche ne vous semblera insurmontable.

5) Soyez régulier

Dressez une liste des tâches à accomplir
Chaque jour, accomplissez une tâche de la liste. Peu importe si vous suivez l'ordre ou pas, s'il s'agit d'une petite tâche ou d'une grande. L'essentiel est de réaliser quelque chose chaque jour.

6) Lancez-vous des défis

Faites des choses dont vous ne vous pensiez pas capable.
Des choses que vous reportez depuis longtemps
A chaque fois que que vous allez faire reculer vos limites, vous allez accroître l'estime que vous avez de vous-même.
Et plus vous aurez une bonne estime de vous, plus vous serez capable de réaliser de grandes choses.

7) Restez concentré sur votre projet

Le risque lorsque l'on passe à l'action, c'est de se disperser.
Soit parce que l'on a beaucoup d'idées, soit parce que ce que l'on met en place ne fonctionne pas directement et que l'on est tenté d'essayer autre chose.
Ne vous laissez pas déstabiliser par un échec. Changez de moyen, pas d'objectif.
Vous avez des idées qui ne concernent pas votre projet? Notez-les dans un cahier, vous y reviendrez plus tard.

8) Entourez-vous des bonnes personnes

Entourez-vous de personnes qui vont vous tirer vers le haut
Celles qui vous encouragent dans les moments de doute, qui fêtent vos succès et vous aident à rebondir après vos échecs.
Celles qui ont déjà réalisé ce que vous voulez réaliser ...
Laissez tomber les personnes négatives, les jaloux, les envieux, les peureux, ....

"Lorsque tu fais quelque chose, sache que tu auras contre toi, ceux qui voudraient faire la même chose, ceux qui voulaient le contraire, et l’immense majorité de ceux qui ne voulaient rien faire."  Confucius

9) Fêtez vos succès

Félicitez vous! A chaque étape! Après chaque action!
Dites-vous que vous avez été grandiose, magnifique!
Et ressentez la joie, la fierté d'avoir réussi.




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Je voudrais bien...
Mais je peux point....

Nous avons tous, à un moment ou à un autre, rêvé de changement. 
Et pourtant, seulement quelqu'un passent réellement à l'action.
Qu'est-ce qui nous en empêche?

Voici 6 raisons qui nous gardent dans notre zone de confort


Nous ne savons pas comment faire

Nous sommes inactifs depuis si longtemps que nous ne savons plus comment passer à l'action.


L'absence d'objectif clair

Vous savez ce que vous ne voulez plus mais vous n'avez qu'une vague idée de ce que vous voulez.
Un peu comme si vous disiez à votre GPS "je veux partir", sans connaître l'adresse de votre destination.

Clarifiez votre vision, affinez votre objectif.
Plus votre objectif sera précis, plus il vous sera facile de passer à l'action. 


La peur

De l'échec...
de la réussite...,
de ne pas être à la hauteur...,
du jugement des autres,...
bref, la peur du changement!

Pour dépasser vos peurs, posez-vous une seule question: " Quelle est la pire chose qui pourrait arriver si je passais à l'action?"
Vous verrez que le pire n'est pas souvent aussi grave que vous le pensiez.


La recherche de la perfection

Attendre le moment parfait, attendre d'être parfaitement prêt, encore une formation, et puis une autre...
Attendre que tout soit parfait est le meilleur moyen (la meilleure excuse) pour ne jamais passer à l'action.
Lancez-vous avec ce dont vous disposez aujourd'hui, vous ajusterez après.

Le cercle infernal

Je n'ai pas le temps
Je n'ai pas d'argent
Je n'ai pas les compétences
Je n'ai pas le matériel nécessaire

Avec ces quatre excuses, vous pouvez tourner en rond indéfiniment.
Pour commencer, il me faut du matériel, pour acheter du matériel, il faut de l'argent, pour gagner de l'argent, il faut des compétences, pour suivre des formations, il faut du temps, ou de l'argent....

Si vous voulez passer à l'action, il faut briser ce cercle infernal

Le temps: listez vos moments perdus (le temps que vous passez à attendre, à traîner sur les réseaux sociaux, à regarder la télé,...)
Réfléchissez ensuite à la manière dont vous pourriez utiliser ce temps pour mener à bien votre projet.

L'argent: racler vos fonds de tiroir, vendez ce dont vous ne vous servez plus. Mettez vos priorités sur ce qui compte vraiment pour vous, ...

Les compétences: vous avez déjà tout ce qu'il vous faut pour démarrer.


Les bénéfices cachés

Un boulot infect qui nous rapporte un salaire confortable, une relation de couple compliquée qui nous offre un train de vie aisé, ...
En réalité, même une situation qui ne nous convient pas (ou plus) nous apporte des avantages.
Vous vous plaignez mais vous ne changez rien? Réfléchissez! Quel avantage tirez-vous de cette situation? Soyez honnête!




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Suite à un petit défi, j'ai décidé de tenter l'expérience: 24h sans râler, sans me plaindre, sans ronchonner.

Ma première crainte: oublier que j'ai décidé de ne pas râler!
Et comme ma première raison d'être de mauvaise humeur est la sonnerie du réveil, j'ai déposé un petit aide mémoire sur ma table de nuit. On n'est jamais trop prudent!

Comment résister toute une journée ? Voici quelques tuyaux:

Divisez la journée en étapes
le lever, du lever au petit déjeuner, du petit déjeuner au départ vers le boulot, la matinée,...
A la fin de chaque période, faite le bilan. Félicitez-vous d'avoir tenu bon.

Identifiez les causes récurrentes de râleries
Connaître l'ennemi permet de mieux l'affronter

Anticipez votre réaction face aux événements râlants
Réfléchissez aux choses qui pourraient vous mettre de mauvaise humeur. 
Comment réagissez-vous d'habitude?
Comment pourriez-vous y réagir pour relever le défi ?

Ne culpabilisez pas
Zut, vous avez râlé. Pas de panique! Ce n'est pas grave.
Recentrez-vous sur votre décision et reprenez vos activités. 

Relativisez
Avez-vous réellement un problème? petit ou grand? Y a-t-il une solution? 
Pouvez-vous la mettre en place rapidement?
​

Et alors? Quel résultat?

Défi réussi! ... A ma plus grande surprise, je l'avoue!

Que retirer de cette expérience?

Se lancer ce genre de défi nous permet de vivre en conscience
Nous sommes obligés d'être attentifs à ce que nous faisons, à ce que nous ressentons et à la manière dont nous réagissons.

En parler a un effet boule de neige
Lorsque quelqu'un venait me trouver en ronchonnant, j'annonçais d'emblée "Aujourd'hui, c'est la journée sans râler" et, comme par magie, mon interlocuteur était déjà plus calme.
D'autre part, dans les situations de stress et d'énervement, il y avait toujours quelqu'un pour me rappeler ma décision.

Nous avons peu de véritables raisons de râler
Et c'est certainement la grande révélation de cette expérience.




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Et bien voilà, vous avez encore craqué!
Vous avez accepté de garder votre neveu, ou d'aller aider votre collègue à déménager...alors que tout ce dont vous rêviez, c'était de rester bien tranquille chez vous, à écraser le canapé!
Et vous regrettez d'avoir dit OUI si vite!
Et vous vous en voulez!
Vous aimeriez tellement pouvoir dire NON!
Heureusement, ça s'apprend.

1) Soyez en accord avec vous-même

Pouvoir dire non, c'est se respecter et se faire respecter.
A chaque fois que vos actes sont en accord avec vos pensées et vos valeurs, vous booster votre estime de vous.
C'est ce qui se passe lorsque vous refusez quelque chose dont vous n'avez pas envie mais aussi, lorsque vous acceptez ce dont vous avez envie !

Fixez vos priorités.
Que votre NON soit NON, que votre OUI soit OUI.


2) Arrêtez de vous justifier

Lorsque vous commencez à vous affirmer, que vous n'êtes pas à l'aise de dire NON, vous avez  tendance à vous justifier, à argumenter votre refus et parfois même, à inventer des justifications plus ou moins plausibles.

En faisant cela, vous affaiblissez votre refus, vous donnez aux autres des possibilité de contre-argumenter.
"Je ne sais pas venir, j'ai une réunion"
"Tu n'auras qu'à venir après"

Alors que "je ne viens pas" met fin à la discussion.
Si votre interlocuteur vous demande "pourquoi", prenez votre air le plus innocent du monde et dites "pardon?"
Il y a de grandes chances que l'autre se rende compte qu'il n'a aucun droit de vous demander de vous justifier.


3) Ne culpabilisez pas 

C'est fait, vous avez dit NON!
Après l'euphorie des premiers instants, vous voilà rattrapé par les remords.
"Qu'est-ce qu'on va penser?"
Décomposez le problème: 
- à qui avez-vous dit NON?
- Quelle est l'importance de cette personne dans votre vie? 
- Dans le pire du pire des cas, que pourrait-elle vous faire?

​Vous verrez, ce n'est pas si grave que ça!


Tenez bon! 

Ne vous leurrez pas! Les autres ne vont pas accepter votre refus sans sourciller, surtout s'ils ont l'habitude que vous accédiez à toutes leurs demandes.
Ils vont insister, vous demander de vous justifier...
Tenez bon, ne lâchez rien! 
Contentez vous de répéter votre refus.
"Mais pourquoi?"
"Parce que c'est non!" ou "Parce que je ne peux pas" ou "parce que ça ne m'arrange pas" et avec un peu d'entrainement "Parce que je n'ai pas envie!"

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